Dakhla, Sahara occidental.
Bonne route entre falaises à pic et dunes de sable. Vent arrière puissant qui pousse la Renault Express
chargée des deux kayaks. Visibilité nulle. Le goudron disparaît sous le tapis de sable qui file à la vitesse
du vent devenu latéral.
Arrivé à
Nouadhibou vers 15 heures. Épouvantable piste faites de marches cassantes
sur 5 km dans le No man’s land entre
Maroc et Mauritanie. Parti à 21 heures pour
Nouakchott, la capitale.
Voiture et kayaks restent à
Nouadhibou. Huit heures de mauvaises pistes et de déviations.
La route sera bientôt achevée.